Le Passe Muraille

La lumière des mots nus

À propos de L’Analphabète d’Agota Kristof par Françoise Delorme   Les écrivains qui entrent dans une autre langue que leur langue maternelle, parfois, savent en découvrir l’extraordinaire précision, en exalter une transparence, sèche et abstraite, ascétique. Le présent de l’indicatif, par exemple, qu’Agota Kristof emploie presque exclusivement dans le court récit titré L’analphabète, . . .