Un chant d’amour et de mort
À propos de Tristan meurt d’Antonio Tabucchi, par Sylvie Blondel Antonio Tabucchi a, paraît-il, l’habitude d’écrire dans la touffeur des après-midi d’été. Le héros de son dernier roman (mais qu’est-ce qu’un héros) n’a plus qu’un petit mois à vivre, au coeur du mois d’août quelque part en Toscane. Son corps est glacé, pétrifié, . . .