Le Pouf
par Fabrice Pataut Jamais la nuit n’était tombée aussi vite. Depuis l’étroit couloir qui menait à la loge, on pouvait entendre le bruissement de la forêt.Àl’entracte, Vladimir avait entrouvert la fenêtre et respiré l’odeur de tourbe. Une biche s’était approchée, décidée et familière, pour grignoter les trèfles qui poussaient en-dessous le long du mur. Après . . .