Elégies de l’homme qui penche
(Louis Soutter, Seuls) Poèmes inédits de Grégory Rateau POÈME PAÏEN A la fin, je me présenterai devant vous presque nu avec seulement mes bagues en éventail une pour chaque vie que j’ai vampirisée les yeux gris d’un plein de soleil l’iris en parchemin récit des folies de ma jeunesse mes muscles à présent atrophiés . . .