Concerto
par JLK Il n’est plus là même pour moi, quand il est au piano, et j’ai beau me faire oublier: cela même est de trop comme si l’ombre d’un cheval piétinait l’idée seule que je puisse ne pas écouter le divin concerto… L’univers est tout harmonie, tout armes et mélodies, tout vacarme et polyphonies, mais . . .