L’imaginaire au pouvoir
À propos de L’Enchanteresse de Florence, de Salman Rushdie, par René Zahnd Dans la foule bigarrée des personnages qui peuplent L’Enchanteresse de Florence se trouve un artiste qui, après avoir terminé un cycle de peintures, disparaît à l’intérieur d’un de ses tableaux, comme si c’était l’unique issue pour un créateur: se fondre dans son œuvre, . . .