Avec Guerre, inédit, Céline culmine dans l’obscène vérité…
250 feuillets volés et retrouvés et c’est reparti pour le bout de la nuit dans une langue apparemment brute et très ciselée à la fois, musicale et d’une forte plasticité, à équidistance du Voyage, de Casse-pipe et de Guignol’s Band. Malgré le décalage entre les faits évoqués (avérés en partie) et leur transposition, la . . .