Bagatelles pour d’autres nuits
Quentin Mouron en manière noire (Notes poétiques inédites) Nocturne XCV Tu tends vers le ciel tes bras d’usure et d’absence; tu bois le lait métallique des cauchemars de l’enfance; tu penses: que reste-t-il de nos nuages dans le ciel de mon indifférence; un oiseau; un grand rire; un rayon de lune comme une tige d’acier . . .