Fragments d’un homme ordinaire
En interné par François Debluë Au dortoir de l’internat, ils sont plus de quarante. Chacun a droit à son box ouvert. Les parois de bois sont à hauteur d’épaules. Plus de quarante boxes en bois, cela fait déjà une belle écurie. Mais l’écurie est propre: on la balaie tous les matins et on n’y laisse . . .