Le messager
Corinna Bille en ouverture du Passe-Muraille Un soir âcre d’automne, comme je traversais la forêt déjà complètement nocturne avec un petit garçon, une très longue et luxueuse voiture, capitonnée, d’un noir brillant de corbillard, s’arrêta. Se tournant vers nous avec la politesse la plus gracieuse, un jeune homme aux cheveux et aux yeux . . .