Le Passe Muraille

Calaferte ou le vertige du sexe

À propos de La Mécanique des femmes et de Septentrion, par Antonin Moeri En lisantLa Mécaniquedes femmes, j’apprendsà me souvenir. Je partais d’un coin de laville pour d’interminables errances. Au bord de la nuit, lesrues du quartier chaud se remplissaient d’hommes solitaires,à l’affût, sans voix. Des ombres inquiétantesfrôlaient les murs sales desvieux immeubles.Quelques voitures ralentissaient . . .