L’étreinte du merveilleux
À propos du Chant pour celui qui désire vive, de Jørn Riel, par Jil Silberstein Est-ce cela que leur avaient un jour crié les vieux gesticulant sur l’inlandsis: qu’une fois franchi le colossal pont de glace, parvenus sur une terre que nul chasseur de caribou – de mémoire d’homme – n’avait foulé, ils périraient . . .