L’effroi lucide de Paul Bowles
À propos d’un grand nouvelliste américain, par Gian Gaspard Kasperl C’est un écrivain souvent mal compris que Paul Bowles, paré d’une légende plus ou moins glamouret qui relève au contraire d’une littérature de la surexactitude implacable, comme l’illustrent (notamment) les nouvelles réunies dans Le scorpion,dont la lecture procure un voluptueux effroi. On croirait y . . .