Carnets de l’essentiel
Georges Haldas n’aime pas qu’on l’appelle écrivain. Si vous tenez à le faire glapir, taxez-le d’homme de lettres, ou pis encore: donnez-lui du Maître ! Et vrai que ça ne lui va pas, et que ce n’est pas jouer le jeu d’une coquetterie littéraire que de reconnaître l’état qu’il revendique d’homme qui écrit. Un . . .