Quai des rêveries
Inédit, par Frédéric Rauss C’est un quai de gare de chez nous, parfaitement tenu, sur lequel tout le monde, ou presque, se tient bien. En attendant le train. C’est le matin. Un petit matin de novembre où le froid commence à être mordant. On a sorti les gros habits d’hiver. Les gros pulls, les grosses . . .