Théâtre dogon
Carnet nomade de René Zahnd Au village de Benimatou, un homme parlait français, ce qui était rare au pays Dogon, comme je le constatais depuis plusieurs jours. Cordial, Michel était donc venu m’offrir l’aubaine d’une conversation, alors qu’avec Ibrahim le Magnifique, mon imprévisible guide, nous attaquions notre troisième calebasse de bière de mil. . . .