Les beaux jours
Suite autobiographique de Fabrice Pataut 12 Delabordère, encore Il est temps je crois de faire une pause, d’oublier rien qu’un peu la deuxième adresse, jusqu’à l’île et son eau verte, gracieuse et trouble, de laisser respirer à son aise et pour le pur plaisir ce lieu rêvé de vie parallèle, cette rue Delabordère . . .