De luxure et de mort
À propos de La mécanique des femmes, de Louis Calaferte, par Pascal Ferret À le feuilleter distraitement en librairie (son titre-harpon), l’on risque fort de mal juger le quarantième livre de Louis Calaferte, en n’y voyant qu’un recueil de textes lestes ou carrément obscènes. Or il faut éviter même d’entrouvrir La mécanique des femmes si . . .