Nabokov, vingt ans après
La maison de pierre le Grand se nommait Monplaisir: l’œuvre de Nabokov ouvre sur la littérature, ses fêtes, ses fastes, ses jeux et ses jardins. Le plaisir n’est pas la joie, notion nietzschéenne ou claudélienne. Le plaisir, lui, garde l’odeur d’un flacon débouché humé par d’aristocratiques narines. Tant pis et tant mieux. Cet accent . . .