Stasiuk le merle blanc
Par Bertrand Redonnet Il nous arrive – il nous estarrivé plutôt ou, encoremieux, il nous arrivaitparfois – autour d’une tableenfumée où refroidissaient lesrestes d’un repas abondamment mouillé d’un jaja rougeet noir, de refaire le monde,tard dans la nuit, sous des lunes incertaines et la chevelureen bataille.Tunnel à sens unique, sansembouchure ni sortie, queles espérances décousues . . .