Un nid de flammes
À propos de Bernanos et de ses créatures du feu de Dieu, par Antonin Moeri Parlant de Bernanos, Henri Debluë se métamorphosait. Ses gestes prenaient une ampleur que je trouvais majestueuse. Sa voix d’alto se faisait violoncelle. Son beau regard d’oiseau des cimes fixait inexorablement les ombres, les contours et les vertiges. Avec une . . .