Notes de survie
À propos des Carnets d’oflag de Georges Hyvernaud Georges Hyvernaud n’était pas le genre d’homme à se payer de mots. Ses phrases sont de celles qui nous font sentir à tout moment l’os de la réalité. Ainsi écrivait-il, en 1941, à Grossborn, dans le quatrième de ses huit carnets de prisonnier de guerre. «Le lit, . . .