Les distances de Michaux
Sur un recueil posthume, par Jean-Paul Jacot Dans le ciel de l’histoire littéraire Henri Michaux (1899-1984) occupe une place de choix, disons celle d’un albatros baudelairien, mais qui se serait vu empêché de déployer ses ailes de géant et obligé de quitter son poste de prince des nuées pour explorer le plancher de l’inhospitalité mondaine. . . .