L’Ouvrage de l’insomnie
Extrait d’un manuscrit en chantier de Jacques Roman Cette nuit de chacun de mes bras, je ramenais à moi enserrées deux têtes chéries dont j’approchais les bouches de ma bouche et nos langues nouées, mouillées excitées, toutes trois se livraient à une interminable sarabande salivante; je me sentais inondé d’un beau scandale et j’étais, . . .