Max Schoendorff pour mémoire
Par Fabrice Pataut Codicille 1 Une première chose remarquable : un sens inné de la comédie, de la mise en scène, de la façon dont il faut bien mélanger le vernaculaire et le sublime pour se consoler des ineptitudes de l’Europe sans cesse fatiguée d’elle-même. J’en veux pour exemple l’invitation à un vernissage de l’URDLA . . .