Antonin Moeri satiriste larigot
À propos des nouvelles du Sourire de Mickey, par JLK Antonin Moeri poursuit, depuis bientôt une quinzaine d’années, un travail littéraire des plus singuliers dont l’évolution constante et l’ouverture progressive, du solipsisme exacerbé de ses premières autofictions (Le Fils à maman, Vile intérieure et Les Yeux safran) à l’observation élargie par les nouvelles d’Allegro . . .