Mon salut ajourné
L’épistole d’Amélie Nothomb Quand je passe à la radio ou à la télévision, il m’arrive d’être si crispée que je me mets à dire absolument n’importe quoi. Ce n’est pas grave, car quelle que soit l’horreur que j’ai proférée, je l’oublie à la seconde. Hélas, il y a des témoins. L’autre jour, je passais aux . . .