Le brigand au tea-room
par JLK On lit Walser dans un tea-room comme on cheminerait dans une prairie lustrale bordée d’abîmes, avec un mélange de bonheur souriant et d’irrépressible angoisse. C’est que le noir à lèvres de la trop jolie serveuse, là-bas, lui fait une gueule de poupée fatale. On pense aux putes peintes aux auras de saintes de . . .