Une sacrée perte: le sacré
Inédit, par Claude Frochaux Quand j’ai commencé à écrire L’Homme religieux, je ne pensais pas parler spécifiquement, de religion. Ce qui m’intéressait, c’était le rapport que je trouvais hautement éclairant, entre la religion et la littérature. Et, finalement, tous les arts. La culture.J’avais remarqué ce phénomène historique et sociologique singulier : la religion s’évaporait en . . .