Poète de la blessure de vivre
Ceronetti lu en prison, par Fabio Ciaralli Les lumières au néon mettent en évidence les murs nus et sales, les petits lits en fer et les sols au linoléum défraîchi et écaillé. Partout du bruit et une odeur que personne ne réussira jamais à décrire : en enfer, peut-être, nous, les «ex», nous reconnaîtrons le . . .