Que notre joie demeure
(Lucian Freud) En mémoire de ma mère (1917-2002) Tu nous a quittés ce jour-là : l’attaque t’a frappée à l’aube d’une belle journée d’été, ce jeudi-là, fête de l’Assomption. L’attaque ne t’a pas permis de profiter une fois encore du beau temps, selon ton expression: tu n’as pas pu suivre ton programme du jeudi qui . . .