Panaït Istrati, Prince des vagabonds
Adios Schéhérazade, III par Alain Dugrand Pour saluer le grand retour éditorial de l’immense bonhomme… Les écrivains ne meurent jamais! À l’égal d’Octave Mirbeau, Panaït Istrati bénéficie d’une impressionnante redécouverte éditoriale. Biographies, correspondances, BD de Golo, jeunes éditeurs libertaires, la vénérable maison Gallimard, longtemps oublieuse… on assiste à . . .