Un été français
Nouvelleinédite de Fabrice Pataut On m’avait écrit cet été-là depuis Tanger qu’on m’aimait avec impatience, et plus loin dans la même lettre que cette impatience faisait un grand bien. Je suis revenu à Paris avant celle qui l’avait écrite et ne me reconnus dans le miroir de la chambre qu’à l’aide d’un raisonnement après . . .