Une femme sensible
En (re)lisant Le prix de l’idiot, Ceux qui frappent à la porte et LeJournal d’Edith de Patricia Highsmith, par Livia Mattei Il est de basses méchancetés, comme il en est de bonnes, qui procèdent de l’innocence bafouée et de la révolte contre l’injustice. Les vraies méchantes gens affectent volontiers des airs de belles âmes, tandis . . .