Le cauchemar de l’homme fini
À propos d’une lecture qui marque à jamais: Les Bienveillantes de Jonathan Littell, par JLK Je suis sorti de la lecture des Bienveillantes avec un sentiment d’insondable et froide tristesse qui m’a rappelé le muet effroi que j’ai éprouvé, à vingt ans, en découvrant Auschwitz. Pour la première fois de ma vie, à Auschwitz, m’est . . .