Dérives de la mélancolie
À propos des nouvelles de Judith Hermann Les nouvelles de Judith Hermann, dont on a découvert le très singulier talent dans Maison d’été, plus tard (Albin Michel, 2002), rendent admirablement le sentiment de déréliction d’une génération qu’on pourrait dire orpheline, dans un décor à la fois déglingué et sans frontières qui, de Berlin . . .