Une enfant du siècle
Au singulier du féminin: Judith Hermann, par Livia Mattei Judith Hermann a en elle un puits de larmes. En tout cas j’avais été saisi, dès son premier recueil de nouvelles, Maisons d’été, plus tard, par l’originalité et la maturité, la clarté et la complexité, la puissance expressive et l’hypersensibilité qui caractérisent son art si singulier . . .