Comme une enfance grappillée
À propos de L’ombre d’un grand oiseau, de Catherine Poulain par Alain Dugrand Septembre. Disparus les martinets, les rouge-gorge, effacés les accenteurs mouchets, ceux que Buffon nommait «traîne-buisson» simplement. Bienvenue, place aux buses, pies et corbeaux! C’est le même refrain au terme de chaque été, les noisetiers s’effeuillent sur des terres roussies de . . .