En 2001, Miriam Cendrars évoquait l’après-guerre prolifique de l’écrivain… À Aix-en-Provence, où il s’était retiré en 1940, solitaire et silencieux, Blaise Cendrars, en 1943, reprend espoir, plume et machine à écrire. Jusqu’en 1949 il travaillera, sans discontinuer. Sept années pour produire une suite de quatre oeuvres torrentielles, 1945 : L’Homme foudroyé, 1946 : La . . .

Nupur, poème de Blaise Cendrars   Nous sommes suspendus entre le ciel et la mer dans le chant des rossignols Raymone et moi Et évoquons Paris Et parlons des gens que nous avons connus Et pour ne pas rire ou pleurer Et ne pas gâcher les mystères de l’existence Nous nous balançons sans plus rien . . .

À propos d’ Une femme sous influence de John Cassavetes, par Gian Gaspard Kasperl Qui est fou et qu’est-ce que la folie ? Comment vivre une vie « normée » par les codes familiaux et sociaux sans devenir dingue ? Y a-t-il un équilibre possible entre ce qu’on peut dire une vie poétique, intense . . .