Morand avant Morand
À propos du Journal d’un attaché d’ambassade, par Christophe Calame On aime dans Paul Morand la jeunesse, la vitesse, la méchanceté et la solitude. Mais Morand jeune n’avait rien de jeune, ni de rapide, ni d’original. La lecture du Journal d’un Attaché d’Ambassade le montre assez (dans la nouvelle édition, définitive grâce à Michel . . .