Avec trilles et tremblements
Sur Le conservatoire d’amour, de Rose-Marie Pagnard, par Pierre-Yves Lador Un ton singulier, léger même, un poème romanesque qui évoque Ravalec, E.T.A Hoffmann et le romantisme allemand, Lewis Carroll, assurément ; une odyssée brève, une quête, une enquête, un secret de famille, le chemin des écolières ou simplement l’accomplissement d’un désir, d’un destin ?C’est avec . . .