Pessoa solitaire innombrable
Notes sur une lecture de Pessoa, par JLK Poésie a contrario. – Tout de suite m’est apparu, dans Le gardeur de troupeaux d’Alberto Caeiro, le fait évident que cette suite de poèmes se donne en dépit ou, plus exactement, au défi de toute poésie voulue poétique, excluant d’emblée toute connivence et toute convenance «les yeux . . .