Codicille aux Beaux jours
La fin desBeaux Joursrend hommage à l’année 1975, l’année fastidieuse du baccalauréat. Je révise, c’est entendu, et me laisse plus encore volontiers promener en voiture par maman avecAdaen évidence sur la banquette arrière. Il y a entre nous une entente silencieuse. Je dois travailler pour un diplôme qui m’ouvrira les portes d’une classe préparatoire. Mais . . .