Des larmes retenues
À propos de L’Homme que ma mère a aimé, d’Urs Widmer par Elisabeth Vust Lors de sa parution en allemand, ce texte aurait créé des remous parmi la bourgeoisie zurichoise, en particulier dans la famille d’un chef d’orchestre réputé, sûrement outrée devant ce portrait de leur parent en artiste de génie, certes, néanmoins égotiste . . .