Dans le dérèglement du désir
À propos de Délire d’amour, roman d’Ian Mc Ewan, par Claire Julier «Avec nos chemises d’un blanc éclatant sur le fond vert, nous étions deux créatures minuscules lancées l’une vers l’autre tels des amoureux, inconscientes des souffrances qui naîtraient de leur enchevêtrement.» Le hasard le plus absurde noue le destin de cinq personnes qui . . .