Les beaux jours
(Suite autobiographique de Fabrice Pataut) 6 Les chaussures secrètes L’école était au bout de la rue. Ma grand-mère m’y accompagnait chaque matin, revenait me chercher à midi, et m’y conduisait de nouveau après le déjeuner pour me récupérer vers cinq heures. Cette rue dont je fais tant de cas et à laquelle j’attribue . . .