Aux mimes égarés
À la manière de Céline… par Philippe Di Maria Je ne lis plus grand-chose, pas le temps,pasenvie… trop demisère accrochée partoutaux pages… lourdes, si lourdes leurs phrases à tous!…au marteau-pilon qu’ils rabâchent!… et pan!… etpan!… pas musiciens pourun kopeck!… je laisseraisbien faire mais voilà, il y aArthur que me tire par lamanche… Ferdine, Ferdine!qu’il gueule, . . .