En lisant Le monde d’Archibaldd’Anne Brécart, par Rose-Marie Pagnard Le roman d’Anne Brécart, Le monde d’Archibald, écarte des rideaux de vieille soie et montre, au beau milieu de notre rapide et bruyant quotidien, une barque et une pêcheuse de souvenirs, là-bas, au loin. Derrière nous, le plus souvent à notre insu, des bâtiments, des objets, . . .

Des écrivains voyageurs aux voyageurs-écrivants, par Gian Gaspard Kasperl Il n’est pas, me semble-t-il, de véritable premier voyage qui ne s’ancre dans la première enfance, je veux dire: dans l’odieux emmaillotement de la première enfance et dans son immobilité forcée, dans la première impatience de l’enfance et son premier trépignement après son premier cri, dans . . .

À propos de Janice Winter de Rose-Marie Pagnard, et de l’imagier René Myrha. par Livia Mattei D’un livre à l’autre, et comme entremêlant des fils d’encre soyeuse et d’or, Rose-Marie Pagnard poursuit son œuvre romanesque à la manière d’un grand rêve éveillé, dont l’atmosphère relève à la fois du conte populaire et du romantisme allemand, . . .