Majesté du chat
À propos du Carnet du chat sauvage de Charles-Albert Cingria, par Fabrice Pataut Baudelaire les aimait, de même Léautaud. Cingria est de la partie bien que d’une manière rien qu’à lui, à la fois suave, tenace et un peu — comment dire ? — analytique. Je lis et relis avec délices avouables et chafouines . . .