Plinio Martini ou l’homme derrière les mots
À propos de l’écrivain de Cavergno et du Fond du sac, par Alberto Nessi J’aime bien Plinio Martini, pour la même rai-son que d’autres ne l’aiment pas: parce qu’il n’était pas un lettré «pur», une belle âme. Bien sûr, je n’ignore pas que la littérature, on la construit avec des mots, et l’écrivain de . . .